D'ailleurs, le bûcheron est un Homme moderne, avec des problèmes comme tout le monde mais pas plus que les autres. Le bûcheron, n'est plus cet homme rustre et macho d'autre fois, il s'est mis au gout du jour, et fait attention à lui. Il prend soin de son look, et ne sort jamais dans les bois sans une tenue impeccable. Alors il est obligé d'utiliser cet ustensile : le fer à repasser. Au début il à eu du mal, mais il n'est pas homme à donner son linge à repasser à bobonne. Il s'y est mis petit à petit.
Et puis, il s'est habitué
à ce moment privilégié
entre le fer et lui,
lui qui touche du bois toute la journée
enfin se retrouvait
au contact de ce métal presque précieux,
lisse et froid puis tiède, puis chaud.
C'était comme si l'objet était vivant,
de minutes en minutes, se métamorphosant
pour accomplir son office
et rendre tellement lisses
tout les plis mal placés
des vêtements froissés.
Oui mais il passait
et repassait
de plus en plus de temps
avec son nouvel amant.
Et un jour la bûcheronne agaçée
d'être toujours délaissée
Lui dit a peu près ceci :
"mon amour je t'en pris
chaque jour un peu plus tu lisses
et notre couple s'enlise
je ne veux pas te froisser
mais te préférais décoincé
tout ceci est d'un ennui
et ça ne fait plus un plis
des demain j'engage une bonne"
tonna la bûcheronne.
A ces mot le bûcheron
en perdit la raison :
"Tu as signé pour le meilleurs et pour le pire !
Ma femme, je préfère t'avertir
que pour m'enlever
ce bijou à repasser
il faudra mon trésor
me passer sur le corps !
il est hors de question
que j'abandonne pas passion
pour cette tache ménagère
à une obscure mégère
qui bâclera tout ça
je n'te ld'irais pas deux fois !"
Mais sa pauvre femme se mit à rire,
"mon pauvre amour tu délires,
aller ! ne sois pas amer,
donnes moi donc ce fer!"
Et ceci étant dit
elle s'approcha de lui
mais alors qu'elle empoignait
ce saint Graal en acier,
d'une main il la souleva par le col
tu es complètement folle
que ne peux tu me laisser savourer
mon seul moment de tranquilité !
je t'avais pourtant prévenu
de toute façon je n'en pouvais plus
à toi toujours sur mon dos
je préfère un bon manteau
c'en est finit de toi je t'aimais bien pourtant
si seulement t'avais su quand foutre le camp !
nous n'en serions pas là, mais hélas il a fallu que tu t'entêtes
je vais devoir te tuer je regrette."
Il joignit le geste à la parole
et elle tomba inerte au sol.
d'un coup de fer à repasser,
il l'avait fait trépasser.
Fin de cette fable navrante
sur la passion dévorante
d'un bûcheron épris
de vêtements sans plis.
cours de photo sur la lumière, avec notre camarade de classe, dont le nom continu de nous échapper et que nous avons surnommé le bûcheron. Veuillez nous excusez pour cette fable...
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